11 février 2017
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Passe moi une poignée de clous mon canard, ce n'est quand même pas un monde de cruxifier celui là.
Et pendant ce temps la stylo pen réécrit la France à l'encre bleue, elle ne perd rien pour attendre, on se débarrasse d'abord des deux autres et puis on s'occupera d'elle ensuite, avec toutes ses casseroles elle ressemble à une mariée.
La France s'en va a vau l'eau il serait temps de réagir on ne peux pas nous voler notre destin à coup de faits divers soigneusement distillés.
A quand le réality schaw ou on enfermera les candidats et ou ils seront filmés vingt quatre heures sur vingt quatre et ou le public éliminera le moins méchant car bien sur c'est le plus tordu qui règne.
7 février 2017
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Les murs de nos villes suintent de nos désillusions
Entre paroles assassines , mensonges programmés et demi vérités.
Ils en ont tous assez des non dit des attaques en tout genre.
La terre ne tourne elle qu'autour de malhonnêtes et la probité n'existe t'elle plus.
Les murs de nos villes suintent de nos désillusions.
Heureusement il nous reste la Saint valentin
Un peu d'amour changerait peut être les choses.
On veux rêver d'un monde apaisé ou le lendemain ne serait pas que rancoeur
un lendemain en forme de coeur.
31 janvier 2017
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J'écris des gribouillis sur le mur de ta vie
Dés le premier jour que je t'ai vu j'ai été pris.
La plus belle découverte ce fut toi
je n'ai plus voulu être jamais loin de toi.
J'écris des gribouillis sur le mur de ta vie
J'étais comme une page blanche en attente d'écriture
tu a tracé sur ma vie ta calligraphie et la marque dure.
Le bonheur a deux nous l'avons gagné
dans un combat constant envers l'adversité.
J'écris des gribouillis sur le mur de ta vie.
Les années ont passées et nous avons blanchis
nous sommes au déclin de notre belle vie.
Aujourd'hui quand je regarde en arrière
je vois derrière nous tomber le barrières
J'écris des gribouillis sur le mur de ta vie
27 janvier 2017
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Un dilemme pile ou face
la lutte oui contre le discrédit mais à l'issue si la mise en examen arrive il se retire.
On attend un candidat qui se batte pas un joueur de poker alors ne filez pas relevez le débat on attend beaucoup de vous ne nous décevez pas.
24 janvier 2017
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Et voilà revenue la Valse hésitation ils aurons à choisir
Entre les deux le pire
Le candidat iconoclaste qui promet ce que l'on veux
L'autre issue du gouvernement qui donne ce qu'il peux.
On donne l'un gagnant misant sur le fait que démagogie fait loi.
L'autre se défend il sera le meilleur pour éviter le déclin et il a la foi.
Seraient t'on manipulés
les dés sont ils pipés.
La seule vérité ne réside elle pas dans le fait
Que comme dans les chaises musicales les jeux sont déjà faits
19 janvier 2017
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Elle s'appelait Arthemise, et sa mère lui criait dessus dans les rues de Kinchasa , Athemise met ta chemise ce n'est pas une tenue pour toi , c'est vrai qu'il faisait si chaud dans les rues ce jour là.
Il y a bien longtemps que l'on ne l'appelle plus Arthemise elle a quitté son pays pour suivre sa mère qui aimait la France.
Aujourd'hui elle est là dans ce hall de gare où il fait froid vêtue d'un boubou improbable, ses cheveux crépus blanchis par la rue couverts de chiffons de couleurs et elle chante en tournant sur elle même, dans l'indifférence des voyageurs qui la frôle sans la voir.
Bientôt la gare va fermer, elle va retrouver son abribus qu'elle squatte comme chaque nuit elle va chercher dans une cache son caddy rempli de sacs poubelles et elle rempli l'espace entre les vitres jusqu'à mi hauteur d'homme barrage contre le froid qui mord
Elle regarde autour d'elle les lumières des appartements là où il fait chaud et elle les hais de tout son âme, alors elle chante pour elle même, son cerveau c'est brouillé la rue la tué avant que son corps ne décline aussi.
La température est descende à moins quinze la nuit dernière annonce t'on à la météo, et une ligne dans les faits divers informe que l'on déplore la mort d'une SDF née à KINCHASA prénommée ARTHEMISE.
LANGLAIS
-
dans
Témoignage
16 janvier 2017
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10:32
A vaux l'eau tant va la cruche à l'eau qu'elle se casse,l'image de la gauche c'est tellement dégradée au fil des années , la politique politicarde a pris le dessus et a éloigné les électeurs de leurs élus.
On ne les croit plus ,seul retentit le chant des nouvelles sirènes, la porte est ouverte à ceux qui prônent le renouveau place aux beaux parleurs qui peuvent encore faire rêver.
On constate que la valse continue, qu'en Amon cela ne va guère mieux tandis que dans mon bourg on tire un peu d'épingle du jeu alors que la macron mania opère.
Le stylo pen à l'encre bleue ne fait plus recette, pâlie par l'ombre des nouveaux dictateurs, ceux de l'argent et des promesses démagogiques.
Méfions nous des rêves le réveil risque d'être dur, il et plus facile d'emprunter le chemin des sables mouvants que celui du sentier de rocaille.
14 janvier 2017
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10:56
Me voici dans cette grande surface aux premiers jours des soldes , pas vraiment par besoin mais un peu par jeu.
Ce gout me vient de l'enfance , famille nombreuse cet exercice annuel était une nécessité et demandait astuce et énergie pour faire des bonnes affaires.
Je me trouvais devant une gondole où des pulls à cinquante pour cent étaient proposés mais dans des tailles limités.
Le regard fixe je fonçais dans la foule comme un oiseau sur sa proie, fouillant fébrilement pour trouver la bonne taille quand je me trouvais confronté à un problème , le pull objet de ma convoitise était déjà pour moitié entre les mains d'un autre acheteur compulsif.
Nos regards mauvais se croisèrent nous étions près à en découdre, quand me revint une image d'une bande dessinée des années soixante illustrant la période des soldes montrant deux mégères s'arrachant un vêtement .Aussitôt le ridicule de la situation m'apparût et je souris de cette situation.
En réponse la pression de mon antagoniste se relâcha et un sourire éclaira son visage et nous nous excusâmes de concert.
Je me rendis compte en cet instant de l'effet miroir si vous projetez une image positive vous bien souvent en retour un retour positif.
Alors n'hésitez pas à sourire, même si on vous on vous prend pour un idiot,
12 janvier 2017
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Chat couleur de suie un jour de pluie, chat noir un jour d'orage,
chat blanc un jour de lune, le gris m'inspire .
Chatoyant un jour de fête, char a banc un jour de carnaval.
Chapeau haut de forme pour mieux faire le beau.
Chavirer pour l'amour , chaton pour la baque.
Charrier gentiment juste pour s'amuser avec les mots qui chassent les maux.
Chats de gauches qui se guettent , ronronnant devant et toutes griffes dehors.
Charroyer mais pas chat royal de toutes les immondices des médias.
Langlais
4 janvier 2017
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17:14

Sortir de ses gonds , se laisser aller comme une fenêtre dans le ciel, tutoyer les nuages,refléter les étoiles c'est l'association d'idée née de quelques gonds démontés et rassemblés dans un bocal.
Bizarrerie de l'imaginaire création farfelue un peu de poésie en partant de rien à partager.
Langlais
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dans
textes libres