Une pub, deux trois , les assurances, l'optique , la banque et voilà que nos pubs fleurissent de mannequins à la barbe noire et fournie.
On s'interroge la mode est elle en train de revenir à la barbe, ou d'autre impératifs sont ils cachés derrière ces systèmes pileux?
Tenterons on de nous convaincre que la référence est ce type d'homme et nous endoctriner en douceur, ou cela est il seulement un effet de tendance.
Observez et interrogez vous ?
Quand les mots sont dénaturés par des esprits pervers ,qu'on veut leur faire dire autre chose que la vérité.
Quand la haine emprunte les mots pour leur faire dire un message de violence, alors il faut lutter, mot à mot contre cette corruption de l'esprit.
Rendons aux mots leur sens profond , ceux de l'humanisme, ceux qui parlent d'amour , en dehors de toutes religions en rejetant tous les intégrismes comme perversités de l'esprit.
Au delà des langues , des religions des croyances les mots sont clairs et ne doivent pas servir à des messages de haine .
Les brumes ont envahi la France, elles ont passées nos frontières, envahi nos cités , elle se sont glissées sous les portes elles sont entrées dans les têtes.
Elles sont là présentes partout sur nos boulevards , sur nos stades, dans nos églises, dans les lieux de culte , on les voit monter doucement , insidieusement , grises impalpables , dangereuses.
Elles sont là pour diviser , pour tromper, véhiculant des odeurs de violences anciennes, de haines ancestrales, elles trouvent à se nourrir dans la peur , dans la souffrance , dans le rejet.
Que faire contre cette menace sinon , ne pas céder à la peur de l'obscurantisme, ouvrir bien haut nos esprits au vent de la liberté seul bien que nous pouvons partager sans frontières.
Les brumes se dissiperont un jour il faut en être persuadés parce-que l'homme a toujours évolué par le haut et les brumes ne peuvent pas nous tirer vers le bas.
On est tous PARISIENS et solidaires dans la douleur.
On a tous une connaissance , des amis qui sont où qui pourraient avoir été victimes du terrorisme imbécile et sanglant.
Alors avant tout on est de FRANCE et fiers de l'être de notre pays de nos différences et de notre solidarité contre l'adversité.
Au delà de nos origines ,de nos clivages , de nos religions on est tous des hommes et nous refusons de nous laisser instrumenter par la barbarie.
Alors restons dignes et droit refusons la peur,nous sommes solidaires avec tous ceux qui sont en deuil et si nous sommes dans une logique de guerre nous serons présents.
Quand il ne restera de moi qu'une ombre
qui peu à peu déclinera avec le soleil, je serais comme ce vieux pot oublié dans le mur.
Alors peut être il restera quelque part dans les mémoires quelques uns de mes graffitis, sourires ou nostalgies espoirs et colère, tout cela qui font la vie d'un homme.
Alors je dédie ces mots à tous ceux qui sont partis qu'ils soient saints ou pas que la mémoire les garde dans les cœurs .
Elle a recommencé, ce n'est pas celle de l’amitié entre les peuples loin s'en faut.
Elle c'est la ronde des bombardiers qui frappent sans discernement , femmes et enfants , terroristes ou opposants au service du pouvoir, de l'argent .
Le feu et la mort s’abattent ronde infernale de feu et de sang , on ne sait plus contre qui , on écrase un peu plus chaque jour le pays dans le chaos, ouvrant la porte à d'autres rondes.
Ailleurs c'est la ronde de ceux qui fuient , celle aussi de ceux qui les voient arriver et qui ont peur de ce qu'ils amènent avec eux .
La haine aura elle un jour une fin , ou ne finira telle qu'avec l'humanité.
On se prend parfois à rêver à une ronde qui ne serait pas dans le noir , le feu et la souffrance, mais celle de femmes et d'hommes unis par la fraternité.
Avant que ne meure les feuilles
Des grand enfants aux rêve éveillés
ont sculpté des images éphémères.
Des grands sourires émerveillés
sur une plage désertée.
Comme un rappel à l'été.
Un message d'espoir à tous ceux qui au fonds d'eux même
on su garder quelques instants leur âme d'enfant.
Si je vous ais fais sourire un instant , je n'ai pas failli à mon devoir
et je peux refermer content mon cahier de vacances.